Il m'arrive d'être jolie, parfois, lorsque je ne souris pas.
T’expliquer pourquoi à nouveau, je m’endors. Que je cours vers toi ou bien que je t’ignore. Tout est triste tu vois, tout est morne, tout est joie. Je ne suis que l’aurore de tes nuits sans étoiles. Tes chimères se balancent sous ces voiles de brumes, qui remplissent tes rêves aux allures d’utopies grandioses, c’est nos corps qui explosent. Et l’âme qui s’extrait de mon corps immobile, la léthargie critique d’un présent désastreux. C’est l’ennui pire que la douleur, l’impassible souffrance qui m’écœure. Je n’en peux plus de n’être que ça. De n’être que moi. Et je m’oubli moi même, au sein d’une syncope hybride et publique. Je me perd dans cette cacophonie que je ne comprend plus. Et j’oublie, j’oublie que j’existe, j’oublie ou je suis. Mon corps ne fonctionne plus, endormi. L’insomnie a raison de mon intellect. Pire que la drogue. Pire que la dépression. L’araignée épeire qui vous envahi de sa toile et transforme l’eau de votre bain en marre de globule noir.
Je ne suis en vis que parce que tu existes quelque part et je n’ai d’espoir que cet enchantement éthéré qui n’existe que dans tes yeux. J’ai cru l’entrevoir un instant dans ce regard de braise, qui brûle inlassablement mes entrailles enroulées. C’est la raison plus que le cœur. Et notre amour est mort dans ces jeux de regards significatifs, il en est ainsi depuis plusieurs vies. On s’ignore, on s’aime, on s’endort, mais toute cette ritournelle a des allures de malaise. Comme un manège béant vomissant les entrailles du monde sous un air de délire existentiel. Tout sonne faux. Tout est triste tu vois, tout est morne, tout est joie.
autrement on peu cliquer :
Je ne suis en vis que parce que tu existes quelque part et je n’ai d’espoir que cet enchantement éthéré qui n’existe que dans tes yeux. J’ai cru l’entrevoir un instant dans ce regard de braise, qui brûle inlassablement mes entrailles enroulées. C’est la raison plus que le cœur. Et notre amour est mort dans ces jeux de regards significatifs, il en est ainsi depuis plusieurs vies. On s’ignore, on s’aime, on s’endort, mais toute cette ritournelle a des allures de malaise. Comme un manège béant vomissant les entrailles du monde sous un air de délire existentiel. Tout sonne faux. Tout est triste tu vois, tout est morne, tout est joie.
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☆ (là)
Ahhh "l'araignée épeire" mon dieu ! Djondo nous lobotomise ! xD
J'aime beaucoup ce texte et cette photo ! Et puis la chanson est chouette :)
J'me d'mande si t'as écrit le texte guidée par l'ambiance du morceau... et quelque peu l'insomnie of course. C'est joli et bien balancé, écrit et agencé.
J'suis contente qu'on ait parlé :)
B'sous !
PS : ça fait plaisir de voir quelques anciennes photos, c'tait d'ja bien réussi tu vois (L)