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"Tu sais ce qu'il y a de si affreux quand on meurt, c'est que l'on est complétement seul" et tandis que mes genoux d'automates allaient et venaient je pris soudain conscience que je ne savais absolument rien des pensées de ma doucette et que derrière ses affreux clichés juvéniles, il y avait peut-être en elle un jardin et un crépuscule, et la porte d'un palais - des régions sombres et adorables dont l'accès m'était totalement et lucidement interdit, avec mes haillons souillés et mes misérables convulsions (...).
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Vladimir Nabokov.
C'est vrai que ça fait un baille que j'ai plus écrit sur cow', et d'ailleurs c'est bien drôle que tu me laisses un com' justement aujourd'hui car je viens de me créer un autre gloub', sur canalblog (jte passerais le lien par mail si tu veux :p).
Puis aussi j'ai eu des petits bugs' avec mon portable, du coup je sais pas si tu m'avais répondus ou pas l'autre fois, après je voulais te le demander, et ça m'est complètement sorti de la tête... --"
Bon, je vais pas polluer ton espace commentaire sinon j'aurais trop de choses à y dire! J'espère qu'on pourra se parler bientôt en tout cas (:
Je reviendrais savourer tes petits mots au calme, mais ça fait plaisir de voir que tu continues à écrire et nourrir cet espace!
Bisous et à bientôt <3